Bucarest, été 1954
Photo extrêmement rare du groupe punk-rock "Die Moscow Die" composé de Nicolae Ceausescu (batterie) et Enver Hoxha (cithare). Plus connus pas ses fans sous le nom de "DMD" le groupe ne connus malheureusement pas un grand succès auprès des autres pays du bloc soviétique, en particulier de la Russie. En effet les paroles de leurs chansons furent jugées beaucoup trop subversives; deux de leurs titres furent même banni des ondes (il s'agit du célèbre "La Yougoslavie tu peux t' la mettre où j' pense" composé par Hoxha et de l'infamant "Avec tout ces étrangers j' me sent plus en Securitate" écrit par Nicolae). Malgré cela le groupe eut un succès monstre dans les pays respectifs des deux trublions, drainant des foules gigantesques à chacune de leurs apparitions. Certaines mauvaises langues prétendrons que c'est: "Parce que on vous offre un tranche de pain à la fin du concert et de toute façon les gens qui n'y vont pas disparaissent". Pour faire cesser définitivement tout types de rumeurs nous avons interrogé un fan de la première heure (Pitor Volescu) sur l'ambiance qu'il régnait lors de ces concerts.
La vie secrète des dictateurs: - Pitor, pouvez vous nous décrire l'ambiance plus que débridée de ces concerts ?
Pitor Volescu: - Ben vous savez moi j'y allais surtout pour la tranche de pain que l' on recevait à la fin et...
Lvsdd: - Oui, très bien. Mise à part le pain parlez nous de la foule, des groupies en délire!
P.V: - Ben pour ça y' avais les chauffeurs de salles en uniforme et puis...
Lvsdd: - Haaa! Ne dite rien! Je vois déjà le tableau avec les filles qui jettent leurs soutiens gorges et tombent dans les pommes?
P.V.: - Ben oui mais les gens s'évanouissaient surtout à cause du manque de nourriture, d'ailleurs une fois j...
Lvsdd: - La danse Pitor! Parlez nous de la danse! J'imagine que ça devais pas mal pogoter là-bas.
P.V.: - Ho! Vous savez c'est plutôt dur de danser avec la baïonnette dans le creux des reins et des chaînes au pieds. Dites, est ce que je vais être payé pour cet inter...
Lvsdd: - Merci Pitor pour ce magnifique témoignage.
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