Affiche réalisée par Mugabe démontrant que le riz est terriblement ennuyeux |
Lors d'une conférence de presse en 2005 au Zimbabwe, beaucoup de journalistes s'alarmaient au sujet de la situation présente dans le pays. En effet depuis un certain temps le pays est en proie à une famine généralisé et certains accuse Robert Mugabe, président du Zimbabwe élu démocratiquement plus de cinq fois de suite, d'en être le responsable. Cependant Robert Mugabe a démenti les faits et a tenu à s'expliquer. Ainsi il propose une explication nettement plus rationnel que celle d'une simple famine.
Au contraire, le pays manquait de nourriture avant l'arrivée au pouvoir de Mugabe, en l'occurrence de riz et de pomme de terre. Les gens semblaient fanatiques de riz et de patates car ils dévoraient les stocks. La production n'arrivait plus à suivre le besoin de la population. Le président n'a pas pris ce problème à la légère et a tout de suite organisé une campagne de publicité visant à démotivé son peuple de manger du riz et des pommes de terre. Succès! Le gens ont fini par écouter leur président, ils ont changé leur régime alimentaire et ont délaissé ces aliments une bonne fois pour toutes!
Les zimbabwéens ne meurent donc pas de faim, il y a du riz et des pomme de terre en abondance, simplement que cela ne les attirent plus. Ce ne sont plus de grands mangeurs de patates ou de riz. Certes on pourrait accuser Mugabe d'avoir changer les habitudes alimentaires des zimbabwéens, mais les experts affirment que Mugabe s'est contenté de révéler au grand jour ce que les gens pensaient tout bas. A savoir que le riz est vraiment ennuyeux et que la pomme de terre n'a pas de goût.
Après la conférence de presse, tout le monde est sorti pleinement satisfait des explications de Robert Mugabe. La cheffe du Commonwealth, Elisabeth II (elle est aussi reine de deux, trois pays pendant son temps libre), s'est dite rassurement rassurée.
Elisabeth II avant la conférence de presse et Elisabeth II après |
Robert Mugabe a été jusqu'au bout de ses explications et a même envoyé aux journalistes et autres dirigeants inquiets des ravissantes photographies de son pays prouvant que ces dires étaient fondés. En voici quelques unes:
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